Retour
page d’accueil site
Benoît Virole thèses et travaux
Auteur : Benoit Virole –
2015 thèses et travaux
Météorologie
de l’inconscient Les
graphes élémentaires d’interaction Définition
mathématique simple Applications
de la théorie des catastrophes en psychopathologie Applications de la théorie des
catastrophes en linguistique La théorie des catastrophes de
René Thom propose une épistémologie du regard, selon la belle expression de Krzystof Pomian, posée sur les formes et pouvant à partir
d'elles remonter jusqu'à la dynamique dont elles sont issues par déploiement.
Toute forme est la projection sur
un espace externe d'une dynamique interne, indépendante des propriétés
spécifiques du substrat qui la
compose et de la nature des forces qui
agissent sur elle. La naissance de cette idée fondamentale a été décrite par
Thom dans un très beau texte sur ses rêveries d'enfant plongé dans la contemplation des réseaux de
voies de chemins de fer :
La pensée de René Thom ouvre dans
l’histoire de la connaissance humaine une lumière étonnante au-delà des modes
intellectuelles et des
conceptions disciplinaires locales.
Elle est une école de la liberté de pensée. Elle comporte : (1) un volet mathématique, dont
l’essence minimale, pour ses applications externes aux mathématiques pures,
peut être comprise à partir d’un niveau baccalauréat (fonctions,
singularités, dérivées) ; (2) un volet applicatif transdisciplinaire
en sciences humaines (linguistique, psychologie, sociologie), en sciences de
la nature (biologie, géologie…), en sciences exactes (physique…) ; (3) un volet épistémologique
centré sur la critique de l’apologie de la quantification et de la discrétisation
au profit d’une pensée sur le continu, la prégnance, et la morphogenèse, (4) un volet philosophique
tendant vers une réactualisation d’Aristote.
Le terme de catastrophe a deux sens : un sens commun où il désigne des
changements soudains et un sens technique interne à la théorie des
catastrophes. Selon ce deuxième sens, une catastrophe est la disparition
d'une forme stable. Cette disparition aboutit à l'établissement d'une
nouvelle forme consécutivement à une modification des forces agissantes sur
le système. Une forme stable, au sens mathématique de la stabilité
structurelle, est alors une forme qui ne change pas de type sous l’influence
de perturbations de faible importance. Considérons la bifurcation entre
une entité quelconque, que nous nommerons A1, se transformant en une deuxième
entité A2. Chacune de ces entités peut être actualisée, investie par
différents objets. Elle peut être conçue comme un attracteur ou bien encore
dans une perspective structurale comme une «identité de position» (un phonème
dans un système phonétique, une position identificatoire dans une structure
œdipienne, une fonction dans une structure mythique, etc.). Le problème posé
est de comprendre pourquoi à certains moments ces entités bifurquent en
d'autres entités. Il s'agit dans un premier temps de décrire de façon la plus
simple possible les différents états du passage entre A1 et A2 en ne faisant
pas l'impasse sur le moment de la bifurcation. Car ce n'est que dans notre
imagination, que nous faisons l'hypothèse implicite que l'actant A1 se
transforme à l'instant t en un
actant A2 sans qu'il existe de moments intermédiaires. Dans la réalité
physique, il ne peut exister qu'une continuité de la transformation, même si
celle-ci paraît brutale à l'observateur. Il existe donc à un moment donné une
coexistence interactive des deux entités. En d'autres termes, il faut
répondre à la question : que se passe-t-il au moment de la bifurcation ? La
théorie des catastrophes permet de faire travailler conceptuellement cette
notion de frontière entre les deux entités et de rendre compte des différents
états intermédiaires. La
théorie des catastrophes stipule que
sous des conditions générales préétablies, la solution de complexité minimale
est fournie par une catastrophe élémentaire nommée fronce et dont on repère
les différents éléments de la façon suivante : W est l'espace substrat dans lequel
coexistent les éléments en conflit A1
et A2. Dans la terminologie de la théorie des catastrophes, W est nommé
espace externe ou espace de commande. Il contient les variables en coaction.
Dans la fronce, ces deux dimensions (x,y) de
variables n'ont pas besoin d'être identifiées a priori pour faire travailler
le modèle. Ceci présente un grand intérêt dans l'analyse de problèmes où l'on
est confronté à des manifestations de conflits sans savoir quels sont les
éléments en présence. On suppose que
les éléments A1 et A2 sont donnés comme les minima d'une fonction
potentielle. En
présence d’un gradient énergétique, le système tend à prendre l’état dont
l’énergie est minimale. C’est la règle de Maxwell (James Clerk
Maxwell, 1875). C’est pour cela que le système ne reste pas sur la partie
intermédiaire (où il existerait donc sous deux états simultanément). En
présence d’un gradient énergétique, la nappe de la fronce (continue)
disparaît et est remplacée par la ligne de Maxwell (discontinue). Dans le
domaine des transformations d’états de l’eau sous l’effet de la chaleur, les
sauts catastrophiques (franchissement
de la ligne de Maxwell) représentent alors la vaporisation et la
condensation. Ce sont des transitions brusques de phase. |
La complexité de soi
Benoît Virole 332 pages papier
ivoire, couverture toilée bleu marine, cousu ISBN :
978-2-9528925-5-1 Charielleditions - France Prix de vente 35 euros Contacter l’auteur benoit.virole@wanadoo.fr Ouvrage de fond – Théorique et clinique Une conception nouvelle de la psychopathologie Le soi comme instance émergente de la complexité au sommet de l’évolution somato-psychique. |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Figure
1. La catastrophe fronce, représentée
avec le cycle d’hystérésis sur la surface de réponse. En dessous est
représenté le plan W de l’espace de bifurcation avec la strate de conflit Kc, entourée des deux strates de bifurcation Kb. Le tableau indique les graphes
correspondant aux différents états contrôlés par la surface de réponses et
les schèmes morphodynamiques (graphes actanciels).
(Reproduit du livre Sciences Cognitives et Psychanalyse, B. Virole,
PUN, 1995, p.139 |
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Espace de commande Surface de réponse Figure
2. Chemin
potentiel sur la fronce aboutissant à un saut catastrophique Un des
théorèmes princeps de la théorie des catastrophes stipule que pour au plus quatre variables de commandes
(paramètres), donc les dimensions de
l'espace temps de notre réalité, il n'existe
que sept sortes de catastrophes élémentaires topologiquement distinctes. En
topologie, des formes qui peuvent apparaître comme très différentes sont en
fait équivalentes par déformation continue. En clair, tout phénomène
observable peut être rendu intelligible par les effets de dynamiques
élémentaires (catastrophiques). |
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Figure
3. Les
sept types de catastrophes élémentaires D’après
Ivar Ekeland La figure 3. présente les sept catastrophes
élémentaires topologiquement distinctes.
Par exemple, la queue d'aronde (3) a trois dimensions de commande et
une dimension d'état. Elle est donc un objet à quatre dimensions. On ne peut
donc se représenter que son ensemble de bifurcation. Son ensemble de réponse
n'est plus une surface, mais un volume à l'intérieur duquel on peut effectuer
des coupes afin de mieux visualiser la projection sur l'ensemble de
bifurcation. Il est intéressant de remarquer que ses frontières délimitent
des régions qui présentent soit zéro, soit un, soit deux équilibres stables.
La région intérieure aux arêtes de rebroussements en présente deux. |
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
René Thom – Modèles mathématiques de la morphogenèse, Christian Bourgeois,
1980. pp. 188-189 Schémas reproduits d’après Virole B., Sciences cognitives et Psychanalyse, Presses Universitaires de Nancy, 1995. |
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Les catastrophes élémentaires résultent du
conflit entre des entités, dont la nature n'a pas à être précisée a priori.
Selon Thom, elles sont à la source, moyennant leur déploiement général et
leurs superpositions, de la genèse des formes du réel physique ainsi que
celle des formes biologiques. Autrement dit, le conflit entre des entités
quelconques peut aboutir à leur destruction, mais également à la génération
dans l'espace substrat de formes analogues à celles des ensembles de réponse. En d’autres termes, un objet quel qu'il
soit, soumis à des contraintes fortes qui en brisent la stabilité, subit une
modification de son aspect formel. Par
exemple, un verre se brise et laisse apparaître des lignes de brisure ; une pièce de tissu se plisse en créant des fronces
(etc.). Toutes ces formes sont visibles dans la nature et une classification
topologique permet d'en réduire la diversité à sept dynamismes qui les ont
engendrés. La dimension temporelle
peut être gelée par sa projection à l'infini, ou neutralisée, par une section
particulière dans l'espace de bifurcation et on peut ainsi déchiffrer des
formes statiques. On peut alors observer en
géologie des failles ressemblant à des fronces ou des plis et faire
travailler l'hypothèse que ces formes résultent de forces géophysiques dont
la complexité des facteurs agissants se résume finalement à l'interaction
entre deux grandes cinétiques, (attracteurs de grande dimension) dont le
conflit se résout par la génération d'un pli dans l’espace substrat (les
couches de terrain). Le même
raisonnement permet en hydrologie de voir des déferlements de jets
ressemblant à des ombilics hyperboliques, en embryologie des mouvements
d'invagination de tissus ressemblant à des superpositions de fronces (etc.). |
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Figure
3. Morphologies
physiques naissant de catastrophes élémentaires D’après
Ivar Ekeland Les formes observées dans le réel
ne sont pourtant pas strictement identiques aux catastrophes élémentaires, ni
même à la superposition de plusieurs d'entre elles. Cela n'empêche pas la
théorie d’être opératoire car la distance entre la forme mathématique pure de
la catastrophe et la forme observée dans le réel peut être considérée comme
l'expression de la résistance de l'espace substrat au déploiement de la
singularité. Cette résistance constitue une image des contraintes internes au
substrat et permet alors sa connaissance. Ainsi, de toutes les façons, que la
forme des objets du réel soit proche des formes catastrophiques ou qu'elle en
soit éloignée, la vision morphodynamique permet quand même de faire «parler» le réel. Par contre, la méthode ne permet aucune
prévision (sauf cas particuliers où l’ensemble des facteurs est connu et
quantifiable). Généralement, elle est purement qualitative et descriptive. Par
exemple, un arc en ciel est un pli (ensemble de bifurcation). Quand un rayon
lumineux d’une seule couleur est réfracté et réfléchi dans une goutte de
pluie, l’angle de déviation dépend de la position d’entrée du rayon incident
dans la goutte. La lumière se concentre au voisinage de l’angle caustique.
Cet angle étant constant, l’observateur voit un cercle coloré et les
différentes couleurs de la lumière donnent des angles caustiques différents,
d’où l’arc-en-ciel. En
biologie, lorsque apparaît une frontière différenciant deux tissus, il est
légitime d'y reconnaître une catastrophe de type pli. Si cette frontière se
creuse d'un sillon, comme en embryologie, alors on peut y reconnaître
l'expression d'une fronce. Si un tissu s'exfolie en réalisant une cloque, il
s'agit de l'expression morphodynamique d'une queue d'aronde et les cils ou
les excroissances pointues peuvent être déchiffrés comme des expressions d’un
ombilic. Toute
reconnaissance d'une forme, quel que soit son substrat de déploiement,
physique ou psychique, peut être alors considérée comme résultante d'une mise
en comparaison avec les morphologies des ensembles catastrophiques. Si la
comparaison atteste que les deux formes sont isomorphes, alors les deux
formes ont bien été engendrées par le même morphodynamisme. Sur le plan méthodologique,
il est alors possible de chercher à identifier les caractères les plus
saillants et les plus qualitatifs de «l'apparaître morphologique» des objets
concrets ou idéels et de chercher à remonter vers la dynamique interne
susceptible de les engendrer |
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Définition
mathématique simple d’une catastrophe (le pli) Une catastrophe est la
disparition d'un équilibre stable. Cette disparition aboutit à
l'établissement d'un nouvel équilibre
consécutivement à une modification continue
des forces agissantes sur le système. Une forme stable, au sens
mathématique de la stabilité structurelle, est alors une forme qui ne change
pas de type sous l'influence de
perturbations de faible importance. Elle est issue du déploiement d'une
fonction instable obtenue par le rajout au germe de cette fonction, de
paramètres en nombre et en qualité tels qu'ils rassemblent tous les types de
fonctions obtenues par la perturbation de la fonction initiale. Prenons par
exemple la fonction numérique simple : y = x3 Cette équation est celle d'une
courbe que l'on peut tracer dans le plan et que l'on assimile à une forme. En
associant à cette fonction, un paramètre de contrôle ux
, on obtient son déploiement universel qui modifie la forme initiale : y = x3
+ ux avec u comme paramètre externe. En résolvant l'équation, on met
en évidence deux solutions correspondant aux deux singularités selon les
valeurs de u < ou > 0. Au voisinage de u=0 une petite modification de u entraînera une modification qualitative de
F1, la forme de la fonction. On appelle
alors points réguliers les
valeurs de u différentes de 0, correspondantes aux formes stables de la
courbe et points singuliers ou catastrophiques les points correspondants à
la valeur de u = 0. Si on modifie légèrement
la valeur catastrophique K
correspondant à u = 0 , on
déstabilise la forme F1 en la
forçant à prendre l'une des deux formes
possibles F2 ou F3 . On a
défini ainsi la catastrophe nommée pli
dont l'espace de commande est à une dimension et l'ensemble de bifurcation
est un point K. En rajoutant à cette fonction d'autres paramètres externes,
on complexifie le nombre de solutions et on aboutit à un ensemble
catastrophique K qui n'est plus un
point, mais un ensemble à deux, trois,
ou n dimensions. À partir de cette
modélisation, on peut rendre compte de la génération dynamique de la forme
d'un objet observé en étudiant le comportement des paramètres ui . Tant que les valeurs de ces paramètres
restent incluses à l'intérieur de l'ensemble catastrophique K ou sont extérieures à lui, alors on est en
présence de milieux homogènes où les valeurs des paramètres externes varient
de façon continue. Par contre, lorsque les valeurs des paramètres internes ui franchissent les limites de K
apparaissent des discontinuités dans les paramètres d'état. Ces discontinuités sont localisées en des
points précis de l'objet, en particulier sur ses contours. L'ensemble M de ces points définit la morphologie de
l'objet. Il suffit alors de remplacer la variable x par un facteur variant
d'un système quel qu'il soit, et le paramètre u par un autre facteur influençant le premier
facteur, pour se rendre compte que l'on peut appliquer une modélisation mathématique sur le comportement d'un
système et le considérer comme une
évolution dynamique de formes. |
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Applications
en psychopathologie (Benoît Virole) thèses et travaux 1.
La vie psychique résulte de l’émergence
d’états mentaux à partir de la complexité des états neurophysiologiques
(états des réseaux de neurones, modulations par les neuromédiateurs, mise en
résonnance des colonnes corticales, etc.). 2.
Les états mentaux résultent de
l’interaction entre des attracteurs psychiques (quelques attracteurs
identifiés : attracteur autistique, attracteur schizo-paranoïde (Mélanie
Klein), attracteur dépressif (Mélanie Klein), attracteur sublimatoire (objet
de perspective Guy Rosolato), , attracteur interne
au soi (Kohut) : soi grandiose, Imago
parentale internalisée. Ces attracteurs sont des positions stables mais ils
peuvent subir des bifurcations sous l’influence de facteurs internes ou
externes. 3.
Les formes (signifiants formels, pictogrammes
originaires) apparaissant dans les rêves, dans les productions
psychopathologiques, sont générées par les traces indiciaires des
catastrophes de l’individuation. Cf Météorologie de
l’inconscient 4.
Des états psychopathologiques sont
asservis à des processus cycliques et de bifurcations modélisables par la théorie des
catastrophes (oscillation délire /dépression, oscillation manie /
dépression.) Applications en Sciences du
langage thèses et travaux 1.
Les processus de catégorisation
(phonologique et sémantique) résultent de dynamiques profondes modélisables
par les catastrophes (R. Thom, J. Petitot) 2.
Les structures syntaxiques fondamentales
sont des expressions directes des catastrophes élémentaires. La phrase comme
drame (Lucien Tesnière). 3.
Les formes d’écritures pictogrammatiques
et idéogrammatiques (Sinogrammes archaïques) révèlent les schémas actanciels
des catastrophes élémentaires. 4.
Les langues des signes des sourds
révèlent dans leur iconicité gestuelle les schémas actanciels et les
processus dynamiques issus des catastrophes élémentaires. 5.
Le sémiotique est d’essence
catastrophiste. 6.
Les bases neurocognitives des
représentations mentales sont des formes actancielles issues des catastrophes élémentaires. |
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Références Arnol’d V.I, Catastrophe Theory,
Springer-Verlag, 1984. Petitot
J., article « Forme », Encyclopaedia Universalis, Paris, 1995. Petitot
J., Physique du Sens, de la théorie des singularités aux structures
sémio-narratives, Editions du CNRS, 1992. Pezard L., Nandrino
J.-L., « Paradigme dynamique en psychopathologie : la Théorie du
chaos, de la physique à la psychiatrie », L’Encéphale, 2001,
XXVII : 260-8. Thom
R ., Modèles mathématiques de la morphogenèse, 1966, Christian Bourgeois éditeurs, 1980. Thom
R., Stabilité structurelle et
morphogenèse, deuxième édition, Interéditions, Paris, 1977. Thom R.,
Esquisse d’une sémiophysique, Physique aristotélicienne et théorie des
catastrophes, InterEditions, Paris, 1988. Thom R.,
Paraboles et catastrophes, 1980, Flammarion,, 1983. Thom R.,
Prédire n’est pas expliquer, ESHEL, 1991. Thom R.,
Apologie du logos, Hachette, 1990. Zeeman E. C.,
Catastrophe machine. in Towards a Theoretical Biology, Wildgen
W., Catastrophe theoretic semantics, John Benjamins
Publishing Company, 1982. Zeeman E. C., Selected papers, Addison-Wesley
Publishing Company, Reading, Massachussetts, 1977. Zeeman, Catastrophe Theory, Addison-Wesley, Virole
B., Sciences cognitives et psychanalyse,
Presses Universitaires de Nancy, 1992. Virole
B., La complexité de soi, Charielleditions, 2011. Retour page d’accueil site Benoît Virole thèses
et travaux |
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
sites
http://l.d.v.dujardin.pagesperso-orange.fr/ct/fr_cusp.html |
|
|
La complexité de soi
Benoît Virole 332 pages papier
ivoire, couverture toilée bleu marine, cousu ISBN :
978-2-9528925-5-1 Charielleditions - France Prix de vente 35 euros Contacter l’auteur benoit.virole@wanadoo.fr Ouvrage de fond – Théorique et
clinique Une conception nouvelle de la
psychopathologie Le soi comme instance émergente de la
complexité au sommet de l’évolution
somato-psychique. |
Retour page d’accueil site Benoît Virole thèses et travaux Météorologie
de l’inconscient